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Message  Oum Mar 22 Mar - 7:28

Un verre d'eau enlève la
sensation de faim pendant la nuit pour presque 100% des personnes au régime. Le
manque d'eau est le facteur n° 1 de la cause de fatigue pendant la journée. Des études préalables indiquent que de
8 à 10 verres d'eau par jour pourraient soulager significativement les douleurs
de dos et d'articulations pour 80% des personnes qui souffrent de ces maux. Une simple réduction de 2% d'eau dans
le corps humain peut provoquer une incohérence de la mémoire à court terme, des
problèmes avec les mathématiques et une difficulté de concentration
devant un ordinateur ou une page imprimée. Boire
5 verres d'eau par jour diminue le risque de cancer du colon de 45 % et peut
diminuer le risque de cancer du sein de 79% et de 50% la probabilité de cancer
à la vessie. Boire de l’eau à des périodes
bien précises maximise son efficacité dans le corps humain : 2 verres d’eau au réveil contribuent à
activer les organes internes, 1 verre d’eau trente minutes avant le repas aide
à bien digérer, 1 verre d’eau avant de prendre une douche aide à baisser la
tension artérielle, 1 verre d’eau avant d’aller au lit vous évite des attaques
ou crises cardiaques.Ces informations émanent de : INSTITUT PASTEUR, Unité de Génétique Mycobactérienne, 25-28, rue du Dr. Roux, 75724 Paris Cedex 15, FRANCE

Oum

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Bon à savoir Empty Ces bonnes vieilles histoires de nos grands-mères !!!

Message  Oum Mer 16 Mar - 7:51

Pourquoi raconter des
contes de fées aux enfants ? Les contes de fées ont la vie dure ! Depuis
des siècles les enfants en raffolent et ni la télévision, ni les jeux
électroniques les plus sophistiqués ne sont parvenus à les en détourner. Mais
pourquoi ces histoires de princesse, de loup et autres géants leur
plaisent-elles tant ? Quels messages véhiculent ces histoires
fantastiques ?



On peut se demander quel
intérêt présente encore aujourd'hui les contes de fées, quand tant de récits
plus modernes sont à disposition des enfants. Parce que à force d'être répétés
et transmis de génération en génération, les contes de fées se sont affinés,
chargés de significations si diverses que tout enfant, quel que soit son âge ou
son sexe, peut y trouver une multitude d'idées qui l'aident à dépasser ses
difficultés et à grandir plus sereinement.


L'enfance n'est pas
"un long fleuve tranquille"
Bon à savoir Clip_image001Dès son plus jeune âge, l'enfant
traverse des épreuves : déceptions Les contes de fées sont, rivalités
fraternelles, confrontation au monde extérieur, prise de responsabilités, etc.
Ainsi peut-il être amené à affronter solitude et angoisses. Certains parents
pensent qu'il faut préserver l'enfant de ce qui le trouble le plus et ne lui
présenter que l'aspect positif des choses. Loin de l'apaiser, cette façon de
faire ne fait que renforcer ses inquiétudes car l'enfant sent très bien que la
vie ne réserve pas que de bonnes surprises. Les contes de fées vont l'aider :
ils lui parlent de la vie et l'encouragent à s'y aventurer.

Les contes de fées sont des points de repère.
Les contes de fées illustrent de façon ludique les terreurs enfantines :
la misère et l'abandon (le petit Poucet), la mort d'un parent (Blanche-Neige),
les adultes puissants face aux enfants (le petit Chaperon Rouge), la jalousie
fraternelle (Cendrillon). Ils parlent des cruautés de la vie et des luttes
intérieures en leur donnant une forme tangible qui les rendent moins
effrayantes. Un loup, par exemple, ça fait peur bien sûr, mais on peut en rire,
rêver qu'on lui botte le derrière, qu'on triomphe de lui, et se libérer ainsi
de la terreur qu'inspirent les angoisses archaïques "de dévoration". Les
contes aident l'enfant à mettre de la cohérence dans ce qu'il ressent ; ils lui
donnent des idées qui l'aident à résoudre ses problèmes. Qu'est-ce qui est bien
ou mal ? Est-il plus avantageux d'être bon ou méchant ? Comment trouver
l'amour quand on est grand ? Comment est-ce de grandir et de quitter le
giron familial ? Les contes lui fournissent des points de repère sur la
conduite à tenir dans la vie ; tous diffusent le même message, simple et
encourageant : "les difficultés de la vie sont inévitables mais si, au lieu
de fuir, on affronte fermement les épreuves inattendues et souvent injustes
qu'on rencontre, on finit par vaincre les obstacles et par obtenir ce qu'on
veut". Et le message passe…




Les contes de fées savent parler aux enfants.
Les enfants se fient aux contes de fées plus qu'à tout discours rationnel
car ils s'adressent à eux sous une forme qui leur est familière : la forme
magique. Selon Piaget, l'enfant reste en grande partie animiste jusqu'à la
puberté ; dans son monde à lui (et qu'il garde pour lui car il sait que les
adultes voient les choses autrement) la frontière entre vivant et inanimé,
hommes et animaux, imaginaire et réalité est encore floue ; à partir de ce
monde là, transporté hors du temps ("Il était une fois…") et de
l'espace ("…dans un royaume aujourd'hui oublié…"), dans un univers
décalé de sa réalité quotidienne, il est à même d'intégrer ce qui ne passerait
pas par le canal de la raison. Les contes proposent aux enfants une multitude
de personnages auxquels ils peuvent s'identifier, selon leurs besoins du
moment, pour extérioriser ce qui les habite et mieux se comprendre : la bonne
fée peut personnifier leurs désirs les plus ardents, la sorcière leur volonté
de destruction, de méchantes sœurs leurs accès de jalousie… Les contes de fées
sont si riches de possibilités qu'un même conte peut parler aussi bien à un
enfant de 5 ans qu'à un enfant de 13 ans : leurs interprétations ne seront
simplement pas les mêmes !




En matière de contes de fées, laissez-vous
guider. Il n'est pas possible de savoir à quel âge un conte est bon pour tel ou
tel enfant et donc de choisir parmi eux celui qu'il convient de lui raconter ;
c'est l'intensité de ses réactions émotives qui montre s'il est ou non touché.
Le mieux est de commencer par votre conte préféré. Si l'enfant ne réagit pas,
c'est que les thèmes traités ne correspondent pas à ses préoccupations
actuelles ; s'il est accroché, il saura le montrer par son enthousiasme ; il
redemandera alors inlassablement qu'on le lui répète, jusqu'à ce que
finalement, il en ait tiré tout ce dont il avait besoin. Quand ses
préoccupations auront changé, il réclamera un autre conte correspondant mieux à
l'étape nouvelle qu'il aborde.
Le mieux est de vous laisser guider par votre enfant. Ses choix peuvent
d'ailleurs vous aider à mieux comprendre ce qu'il traverse ; mais ne rompez pas
l'enchantement en le lui expliquant, car si les contes de fées l'enrichissent
et lui plaisent tant, c'est justement parce qu'il ne sait ni pourquoi, ni
comment, ils exercent sur lui tant de charmes…




Source : Doctissimo.fr, par Dominique Pir

Oum

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Bon à savoir Empty Définitions du Délire de Revendication

Message  Oum Mar 8 Mar - 11:23

Définition : Délire passionnel présentant
une structure de type paranoïaque. Le délire
de revendication est caractérisé par la certitude inébranlable
qu'a le sujet d'être victime d'une injustice ou d'un préjudice au demeurant imaginaire ou fortement
surévalué. Le sujet présente la forte volonté d'obtenir réparation, par tous
les moyens. Parfois, le délire de revendication évolue sous la forme d'un chunk
up : partant d'une attaque localisée à un élément de sa vie, le sujet va petit
à petit reporter la responsabilité du préjudice ressenti sur des éléments de
plus en plus vastes et abstraits, jusqu'à en vouloir à toute la société. Dans
tous les cas de figure, l'individu atteint de délire revendicatif est
susceptible d'adopter des conduites agressives et potentiellement dangereuses.


Source : dicopsy.com


Le
délire de revendication chez une personne
ayant un caractère paranoïaque :


* Délire fréquent basé sur
des interprétations et repose sur la conviction qu'un préjudice a été Subi.


* Idée de faire triompher la
justice, réparer le préjudice, faire payer le responsable.


* Idéaliste passionné :
délire centré par l'idéologie (politique, social, mystique) et veut la transmettre aux autres.


* Inventeur méconnu :
personne convaincue d'avoir fait une découverte extraordinaire.


Source : volcreole.com

Oum

Messages : 295
Date d'inscription : 28/01/2011

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Message  Oum Lun 7 Mar - 14:28

La dyslexie
est un trouble spécifique isolé de la lecture, elle entraîne une
dysorthographie qui est un trouble spécifique isolé de l’orthographe. Il ne
faut pas confondre la dyslexie avec la dysphasie qui est un trouble du langage.
La dyslexie et la dysorthographie sont un trouble de l’apprentissage du langage
écrit, de la lecture et de l’écriture en dehors de toute autre pathologie
sensorielle, psychique ou mentale. Existe-t-il
des facteurs favorisants ?
La
dyslexie touche les garçons plus que les filles. Les enfants qui en sont
atteints sont d’une intelligence normale, l’apparition de cette pathologie est
indépendante du milieu socio-culturel ou des bases du langage inculqués à
l’enfant ou de l’environnement scolaire.Les neurosciences et la neuropsychologie font d’énormes progrès dans la
recherche des causes de ce trouble ; les facteurs responsables sont
certainement multiples, la complexité du cerveau et de ses fonctions ne sont
pas encore toutes connues. Quand
apparaît-elle ?
Il est difficile de la reconnaître avant
l’âge de 7 ans, année d’apprentissage de la lecture. Il n’empêche que des
signes avant-coureurs en Maternelle pourraient parfois donner l’alerte. Si un enfant a des difficultés persistantes pour apprendre à lire, s’il ne peut
pas écrire correctement, il est nécessaire de chercher et trouver une cause à
cette difficulté. Un enfant en CP peut avoir quelques difficultés pour apprendre à lire, c’est
fréquent et il n’est pas question de tomber dans l’excès et de mettre à tous
ces enfants une étiquette « dyslexie » mais si la difficulté persiste, il faut
en rechercher la cause et penser à la dyslexie. Celle-ci peut être grandement
améliorée si elle est prise en charge tôt par une équipe d’experts en la
matière. Ailleurs, une dyslexie peut passer inaperçue pendant plusieurs années
et être découverte au collège, ce n’est pas rare : l’enfant aura réussi à
compenser son handicap par des subterfuges jusqu’à ce qu’il soit dépassé. Comment se présente la dyslexie ?La
dyslexie est une difficulté dans le déchiffrage de la lecture, dans la
compréhension du texte lu. Alors la lecture est hésitante et hachée, voire
incompréhensible car les mots sont mal découpés, la lecture n’est pas
syllabique, de plus la ponctuation n’est pas prise en compte. Le dyslexique ne comprend pas ce qu’il lit, il dira alors qu’il n’aime pas
lire, fera un rejet de la lecture pour couper court à tout conflit. Bien sûr,
l’orthographe sera embrouillé, que le texte soit copié ou dicté, des lettres
qui se ressemblent seront confondues (les P et Q, les B et D, …) inversées,
rajoutées, enlevées… La prise en
charge de la dyslexie
Il faut dépister le plus tôt possible le handicap
pour qu’il soit pris en charge et traité : c’est un travail d’équipe entre
l’éducation nationale, la santé scolaire, la famille... D’abord, des tests sont
effectués pour faire le diagnostic de dyslexie, et pour éliminer d’autres
causes à la difficulté d’apprentissage : trouble de la vue, trouble de
l’audition, trouble neurologique, trouble psychologique, problèmes familiaux… La prise en charge est multidisciplinaire :
orthophoniste, médecin, instituteur, la famille a un rôle important pour
motiver l’enfant dyslexique. Il n’y a pas de traitement particulier qui ait fait ses preuves ; la
rééducation du langage, une psychothérapie
de soutien ainsi qu’une adaptation scolaire : horaires, un soutien pour motiver
l’enfant et la coopération des parents sont essentiels. La prise en charge se
fait sur le long terme. Le pronostic est assez bon dans l’ensemble,
l’amélioration est souvent incontestable si les troubles ne sont pas trop
importants et la dyslexie prise en charge tôt ; les troubles peuvent
disparaître. Ce handicap n’est pas toujours synonyme d’échec scolaire ou
professionnel, de nombreuses personnes ont réussi et pas des moindres : Albert
Einstein, Léonard de Vinci… A retenir La dyslexie est une
difficulté à l’apprentissage de la lecture et par conséquent de l’orthographe,
la cause n’est pas encore clairement définie ; n’importe quel enfant de
n’importe quel milieu de n’importe quelle école peut être atteint par ce
handicap. L’identification précoce de la dyslexie, dès le CP si possible, et sa prise en
charge sont un gage de réduction réelle du handicap. Cette prise en charge est
lourde, longue et la motivation de l’enfant et de la famille est un point
important dans la réussite du traitement, la limitation des échecs scolaires.
Source :
santé-az.aufémin.com

Oum

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