Re: Le projet de la constitution

**Ibrahim** Mar 21 Juin - 5:25

Le mouvement du 20 février

Ou le mouvement satanique

وَمِنْهُمْ مَنْ يَسْتَمِعُ إِلَيْكَ وَجَعَلْنَا عَلَى قُلُوبِهِمْ أَكِنَّةً أَنْ يَفْقَهُوهُ وَفِي آذَانِهِمْ وَقْرًا وَإِنْ
يَرَوْا كُلَّ آيَةٍ لا يُؤْمِنُوا بِهَا حَتَّى إِذَا جَاءُوكَ يُجَادِلُونَكَ يَقُولُ الَّذِينَ كَفَرُوا إِنْ هَذَا إِلَّا أَسَاطِيرُ الأَوَّلِينَ

فِي قُلُوبِهِمْ مَرَ ضٌ فَزَادَهُمُ اللَّهُ مَرَضاً

Quand on est séduit par le concept de Satan ou le satanisme lui-même, on prend toujours cette forme de révolte contre l’autorité qu’elle soit, contre la dureté de la réalité, contre la complexité d’une société dans laquelle on dit qu’il est difficile de s’insérer. Souvent ces gens vivant au sein de familles éclatées et dans un monde perdant ses repères, ils tentent et essayent inconsciemment de rechercher dans le satanisme un encadrement qui les structure et les rassure sans se soucier de cette majorité éclatante qui les défient avec sagesse. Pourquoi rester avec cette obstination sur une même idée et le même comportement d’entêté malgré ce grand changement qu’à connu notre pays. Vouloir ce besoin de détruire ce qui a été construit est une envie et un désir vers l’inconnu celui de vouloir perdre les repères physiques de l’existence afin de pénétrer dans d’autres idées, d’autres vies et d’autres atmosphères, celle du satanisme. Au lieu d’accepter ce changement et développer la patience, l’écoute et la tolérance envers les autres afin d’aboutir par le temps à des choses qui peuvent réjouir amplement. C’est un refus de s’affronter à soi seul, sans repères, tel que l’on est et ce n’est pas un signe de bonne santé d’être bien adapté à une société qui vise de voir loin. Plus on s’enfonce dans la matière, plus les éléments de division et d’opposition s’accentuent et s’amplifient et inversement, plus on s’élève vers la spiritualité pure, plus on s’approche de l’unité, qui ne peut être pleinement réalisé que par la conscience des principes universels. Qu’on aperçoit les étoiles, il faut se laisser guider par leur lumière au lieu de fermer les yeux et vivre dans les ténèbres sataniques. La constitution n’est pas le livre sacré du Coran, elle peut être modifiée ou changée, donc acceptons-la comme elle est avec ses nouveautés et ses acquis actuels et patientons tout en veillant à son application afin de vivre le changement et notons les failles pour les corriger dans l’avenir. il est du devoir de chacun de nous faire preuve de sa bonne volonté, d’ouvrer pour un avenir meilleur et participer à la construction d’un Maroc nouveau dans lequel régnera, la justice, la démocratie et le bien être de tous sous l’égide de notre auguste Roi Mohamed VI que Dieu le glorifie.

**Ibrahim** Sam 18 Juin - 16:59

Le Polisario Marocain

S’il existe le Polisario Algérien à Tindouf (l’ex marocaine) actuellement sur le sol Algérien, je pense qu’il existe un autre Polisario qui porte le nom de mouvement du 20 février.
Oui ce mouvement plus entêté que son homologue Algérien rien ne le satisfait dans ce Maroc qui change de jour en jour. Ni le discours de mars, ni le remaniement important de la constitution et l’ouverture d’un nouveau air de démocratie ne suffit pas et ne répond pas aux espérances diaboliques du mouvement du 20 février, je trouve que c’est insensé de satisfaire l’insatisfait. Son désir est de se manifester coute que coute pour nous dire « Walaw Tarat Maaza » Niet, Ouhou, non, La, Oussafi, c’est tout.que cherche au juste ce mouvement fantôme ? L’impossible, apparemment et soyons clairs il cherche à déstabiliser le pays et à freiner le processus de la paix social et de la démocratie élargie par rapport aux manipulateurs. Pendant que la majorité du peuple marocain applaudissent le changement historique et le pas de géant accomplit, une minorité de têtus fanatiques ou Marxistes veulent manifester leur mécontentement infondé aujourd’hui dimanche 19 juin après le discours royal historique.

**My Ahmed Jebli** Sam 18 Juin - 10:06

Les acteurs politiques et associatifs d'Essaouira saluent le contenu du discours royal du 17 juin

Dans des déclarations à la MAP, ils ont été unanimes à souligner que le projet de la nouvelle constitution marque un tournant historique dans le processus de parachèvement de la construction de l'Etat de droit, ajoutant que ce projet est à même de consolider les institutions et de renforcer les droits et les libertés.
Qualifiant le projet de la nouvelle constitution de "très avancé et complet", l'inspecteur provincial du Parti de l'Istiqlal (PI) à Essaouira, Abdelkader Adlaoui, a indiqué que "ce projet répond à toutes les aspirations du peuple marocain, particulièrement en ce qui concerne la répartition des attributions entre les pouvoirs, l'élargissement des attributions des Chefs du gouvernement et du Parlement et la garantie de l'indépendance de la justice".
Le secrétaire provincial du Parti de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), Said Hmain, a relevé que le projet de la nouvelle constitution répond à la quasi-totalité des points présentés par son parti, notamment la question de l'identité, les nouveaux pouvoirs accordés au futur chef du gouvernement et au prochain parlement et l'indépendance de la justice.
Pour sa part, le secrétaire provincial du Parti Authenticité et modernité (PAM), Abdellah Houmer, a souligné que "le discours royal du 17 juin constitue une deuxième révolution du Roi et du peuple, estimant que le projet de la nouvelle constitution confortera, sans aucun doute, la position d'avant-garde qu'occupe le Maroc dans le monde arabe, en Afrique et dans la méditerranée.
De son côté, le responsable du Parti libéral Marocain à Essaouira, Mohammed El Farah, a indiqué que le projet de la nouvelle constitution s'inscrit en droite ligne d'un processus de modernisation du Maroc et de consécration de l'Etat de droit, ajoutant que ce projet ambitieux et prometteur permettra sans aucun doute au Maroc d'aller de l'avant vers la consécration des fondements de la démocratie moderne.
Le secrétaire provincial de la jeunesse du Parti de la justice et de développement (PJD), Mohamed Oukharraz a mis en avant la volonté manifeste de donner aux jeunes la place qu'ils méritent dans la gestion de la chose publique, soulignant la création du Conseil de la jeunesse et de l'action associative, un espace institutionnel d'expression et de discussion des jeunes et des acteurs associatifs, qui constitue un "saut qualitatif" dans l'édification du Maroc de l'unité, de la dignité et de la justice sociale.
Le président de la section locale de l'Association "Achouâla" pour l'éducation et la culture, Abdelali Khallad, a souligné que le projet de la nouvelle constitution permettra de réaliser les ambitions et les aspirations de tous les marocains, appelant au lancement des réformes politiques et à l'instauration d'une culture juridique auprès des citoyens afin de réussir la transition démocratique au Maroc.

18/06/2011 14:20.
(MAP) Maghreb Arabe Presse

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